En ce mois marqué par la COP26, je vous propose de stopper la cigarette pour deux raisons : pour vous et pour l’environnement !
Novembre est arrivé et vous savez déjà ce que cela veut dire : le mois sans tabac a commencé. J’ai pu constater avec l’expérience que ce qui pousse les fumeurs à prendre une aussi grande décision peut être très varié selon chacun·e. Profitons donc de l'actualité pour envisager d’arrêter de fumer pour une raison supplémentaire de celles qu’on entend habituellement. Faites-le aussi… pour la planète !
Quatre raisons d’arrêter de fumer… pour la Terre
1. La culture du tabac est extrêmement gourmande en eau et en sols : on estime qu’environ 200 000 hectares de forêt sont coupés chaque année pour lui faire place.
2. Elle a aussi besoin de tonnes de pesticides, dont vous imaginez bien l’impact sur la biodiversité.
3. Étonnant mais vrai, les fumées de cigarette représentent 0,2% des émissions de gaz à effet de serre. Et ceci sans compter les émissions générées par la récolte et l'acheminement du tabac aux quatre coins du globe.
4. Les mégots pèsent très lourd dans la gestion des ordures : ils représentent environ 30 à 40% des déchets recueillis lors des opérations de nettoyage autour du monde. Ils sont de plus un danger pour la faune marine, 40% finissant dans les océans.
… et une de le faire avec la méthode japonaise
La méthode entièrement naturelle que je vous propose pour arrêter de fumer est efficace dès la première séance : vous pouvez lire à ce sujet sur mon site et sur ma page Médoucine des témoignages d'anciens fumeurs qui peuvent vous aider à avancer dans le cheminement.
Si votre décision est prise et que vous êtes motivé·es, vous pourrez dire au revoir au tabac en sortant du cabinet.
J’ai beaucoup parlé cette année de notre rapport à nous-mêmes et aux soins que nous nous accordons. La tradition japonaise est basée sur l'harmonie de l'homme avec la Nature, et le respect de notre environnement en est une condition. Si arrêter de fumer nous permet d'avoir une action à la fois pour l’environnement, pour les autres êtres vivants et pour nous-mêmes, pourquoi hésiter ?
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