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Veillons à (mieux) dormir !


Le 13 mars c’est la Journée mondiale du sommeil. Et l’occasion d’attirer l’attention sur ce paramètre souvent négligé de notre santé et de notre bien-être. Et vous, prenez-vous soin de votre sommeil ?


Il est estimé que les humains auront dormi chacun·e environ un tiers de leur existence. Sachant à quel point le sommeil est l’un des aspects majeurs de nos vies, on ne peut que constater que nous ne lui accordons pas la priorité qu’il mérite. Nous passons nos soirées devant des écrans dont la lumière stimule fortement nos cerveaux, ou nous ressassons la journée de travail. C’est somme toute peu surprenant que notre repos et nos rêves en pâtissent !


Les conséquences du manque de sommeil sont nombreuses, et se traduisent à tous les niveaux. Apparitions de troubles alimentaires, variations de poids, irritabilité et sensibilité à fleur de peau, grande fatigue, aggravation de problèmes cardiaques ou respiratoires, etc. Notre système immunitaire en est aussi particulièrement affecté. Voilà qui devrait inciter à prendre l’affaire au sérieux !


Notre sommeil est fragile


Faire attention à la qualité de son sommeil passe souvent par des habitudes qui peuvent sembler banales, ou d’une trop grande routine. Régulièrement, il m’arrive de conseiller des personnes qui disent mal dormir sans en comprendre la raison, et lorsqu’elles me racontent leur quotidien, la réponse saute aux yeux. Des habitudes alimentaires peu respectueuses des rythmes du corps semblent parfois être la norme plutôt que l’exception. De même, l’importance de la régularité des horaires du coucher est largement sous-estimée !


Logiquement, tout ne se résume pas à cela. Des causes occasionnelles réversibles, liées au travail, à la situation émotionnelle, ou encore à un environnement perturbant, sont tout aussi importantes, et doivent être considérées avec attention pour ne pas devenir pérennes. Souvent, c’est un ensemble de facteurs qui interviennent dans une mauvaise qualité de sommeil, et qu’il faut donc prendre en main de manière complète pour éviter une chronicité du problème.



Apprendre à respecter son repos


Avec les beaux jours, l’envie de profiter au maximum vient naturellement. Je parlais le mois dernier de l’influence saisonnière du printemps dans notre activité et nos envies. C’est, bien sûr, une très bonne chose, mais il ne faut pas laisser son enthousiasme prendre le dessus. Se ménager est important, notamment en ce qui concerne l’heure à laquelle on se couche. Pour des conseils plus adaptés à votre situation, la porte de mon cabinet est toujours ouverte !


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